Jonsbo annonce deux nouveaux boitiers atx micro atx

Les annonces se multiplient chez Jonsbo, et cette fois, le duo D30 / D40 rafraîchit le milieu de gamme avec une proposition limpide : même châssis, deux hauteurs, deux publics. Les formats Micro-ATX et ATX s’invitent

Auteur: Jade

Publié le: 30 août 2025

Les annonces se multiplient chez Jonsbo, et cette fois, le duo D30 / D40 rafraîchit le milieu de gamme avec une proposition limpide : même châssis, deux hauteurs, deux publics. Les formats Micro-ATX et ATX s’invitent dans un design sobre en aluminium et verre trempé, fidèle à la griffe de la marque. L’objectif est clair : offrir un montage propre, une compatibilité solide et un style polyvalent sans tomber dans l’exubérance. Les I/O restent minimalistes, le refroidissement est pensé pour être modulable, et le ticket d’entrée demeure agressif face aux ténors du marché.

Le cœur du sujet se joue sur les détails : longueur d’alimentation, hauteur disponible, et longueur GPU dictée par le bloc ATX. Le D30 et le D40 misent sur une base commune pour limiter les compromis. Les amateurs de refroidissement liquide apprécieront le support de radiateur au-dessus, tandis que les partisans de l’airflow au sol profiteront d’un plan de ventilation pertinent. Ceux qui suivent Jonsbo ne s’y tromperont pas : après les D31/D41 à écran intégré, le D32 adapté aux back connectors ou l’U6 à châssis « tiroir », cette double sortie est un rappel que l’optimisation fine est souvent plus efficace qu’un bouleversement radical.

Enseignements à retenir Détails clés
Deux formats, une base commune D30 pour Micro-ATX (4 slots), D40 pour ATX (7 slots), mêmes matériaux et même I/O
Compatibilité soignée Ventirad 168 mm, GPU jusqu’à 350 mm selon PSU, stockage flexible 2,5″/3,5″
Refroidissement modulable Top 240/280 mm, arrière 120 mm, bas jusqu’à 3×120 mm ou 2×140 mm, aucun ventilateur inclus
Tarifs contenus D30 à 109,90 €, D40 à 114,90 €, coloris sobres (noir/blanc/gris selon distribution)
Positionnement Alternative élégante et rationnelle aux références NZXT, Corsair, Lian Li, Fractal Design, etc.

[Nouveaux boîtiers] Jonsbo annonce deux nouveaux boîtiers ATX et Micro-ATX : design, matériaux et philosophie D30/D40

Les nouveaux Jonsbo D30 et Jonsbo D40 reprennent une recette qui a fait la renommée du constructeur : silhouette minimaliste, face avant épurée, panneaux latéraux en verre trempé de 3 mm, aluminium de 1,5 mm et acier de 0,6 mm pour un châssis robuste. Le parti pris esthétique demeure premium sans surenchère ; l’ensemble se lit comme une vitrine discrète pour composants, plutôt qu’un objet tape-à-l’œil. Ceux qui se souviennent des D31/D41 avec écran intégré noteront ici un retour au classicisme, avec une qualité de fabrication qui conserve l’ADN de la marque.

La différence clé ? La hauteur. Le D30 affiche 204 x 401 x 325 mm, quand le D40 grimpe à 204 x 401 x 386 mm. Cette hausse ouvre le champ à la compatibilité ATX avec 7 slots d’expansion sur le D40, contre Micro-ATX (4 slots) pour le D30. La conséquence directe : un éventail plus large de cartes mères, d’extensions PCIe et d’alimentations, sans revoir la logique interne du boîtier. L’approche est futée : un moule, deux orientations de marché.

Côté I/O, sobriété assumée : USB 3.2 Gen1 Type-C, USB 3.2 Gen1 Type-A et audio HD 3,5 mm. Pas de lecteur de carte, pas de bouton RGB sophistiqué ; on vise l’efficacité. Les amateurs d’éclairages pourront se tourner vers des kits ventilateurs ou strips dédiés, par exemple les emblématiques ventilateurs testés ici : Corsair LL120 RGB.

La compatibilité interne fait écho aux attentes actuelles : ventirad jusqu’à 168 mm, GPU jusqu’à 350 mm selon la longueur d’alimentation, et deux schémas de stockage : 3 x 2,5″ + 1 x 3,5″ ou 4 x 2,5″. La marque rappelle que le bloc ATX influe directement sur l’espace GPU : au-delà de 170 mm de longueur de PSU, la carte graphique est limitée à 305 mm. Cette contrainte, fréquente sur les châssis compacts, doit guider les choix d’alimentation.

Une signature Jonsbo, ancrée dans la tendance

Le duo s’inscrit dans une lignée récente où Jonsbo explore des concepts pragmatiques. On pense au D32, décliné en version STD et compatible back connectors pour les cartes mères réorganisant les câbles à l’arrière. On pense aussi au T7 Micro-ATX avec poignée et touche bois, ou encore à l’U6 au châssis « tiroir » façon Jonsplus : des expériences de format sans renier la fonctionnalité.

Ce que cela signifie concrètement : l’acheteur choisit sa hauteur, puis compose avec un châssis pensé pour un flux d’air par le bas et une extraction par le dessus/arrière. La modularité reste mesurée, mais bien ciblée, avec des filtres et de larges grilles. Le ressenti premium tient ici autant au matériau qu’à la cohérence globale.

  • Matériaux : aluminium 1,5 mm, acier 0,6 mm, verre trempé 3 mm.
  • Formats : D30 pour Micro-ATX/Mini-ITX ; D40 pour ATX/Micro-ATX.
  • I/O : USB-C 3.2 Gen1, USB-A 3.2 Gen1, audio 3,5 mm.
  • Stockage : jusqu’à 4 SSD 2,5″ ou mix 3x 2,5″ + 1x 3,5″.
  • Refroidissement : top 240/280 mm, arrière 120 mm, bas 3×120 ou 2×140.

Le positionnement est limpide : un duo rationnel, facile à intégrer dans une config moderne, qui fait primer la clarté du montage. Cette base solide prépare le terrain pour la partie la plus cruciale : la compatibilité composants et les scénarios de build.

Avant d’entrer dans les compatibilités fines, un repère visuel s’impose : même silhouette, deux usages. Le prochain point éclaire précisément ce que l’on peut loger, et ce que l’on doit anticiper.

[Comparatif interne] D30 vs D40 : compatibilités GPU/PSU, stockage et refroidissement AIO

Le choix entre D30 et D40 dépend d’abord de la carte mère et de la stratégie d’extension. Le D40 ouvre les portes de l’ATX et des 7 slots, idéal pour cumuler cartes d’acquisition, cartes son ou solutions réseau. Le D30, plus ramassé, cible les configurations Micro-ATX performantes mais sobres, parfaites pour un bureau design ou un salon discret. Dans les deux cas, la limite la plus structurante concerne le couple PSU/GPU : au-delà de 170 mm de PSU, la marge pour la carte graphique se réduit sensiblement.

Pour trancher sans hésiter, un tableau de compatibilités clés s’impose. Il compile les points structurant l’expérience, du stockage aux radiateurs AIO.

Élément Jonsbo D30 Jonsbo D40
Dimensions 204 x 401 x 325 mm 204 x 401 x 386 mm
Carte mère Micro-ATX / Mini-ITX (4 slots) ATX / Micro-ATX (7 slots)
Hauteur ventirad Jusqu’à 168 mm Jusqu’à 168 mm
Longueur GPU Jusqu’à 350 mm (305 mm si PSU > 170 mm) Jusqu’à 350 mm (305 mm si PSU > 170 mm)
Alimentation ATX jusqu’à 220 mm ATX jusqu’à 280 mm
Stockage 3x 2,5″ + 1x 3,5″ ou 4x 2,5″ 3x 2,5″ + 1x 3,5″ ou 4x 2,5″
Radiateur AIO Top 240/280 mm (unique position adaptée) Top 240/280 mm (unique position adaptée)
Ventilation Top 2×120/140, arrière 1×120, bas 3×120 ou 2×140 Top 2×120/140, arrière 1×120, bas 3×120 ou 2×140

Pour l’alimentation, mieux vaut anticiper la longueur exacte. Un bloc compact de 140–160 mm laisse respirer les cartes graphiques longues. Un bon point de départ : l’excellente série testée ici, Enermax Revolution Duo 700, ou ce guide pour choisir son bloc en 2025 : guide alimentation PC gamer. Pour un refroidissement silencieux sans complication, un ventirad massif comme le Thermalright Peerless Assassin 120 SE colle parfaitement à la hauteur disponible.

Les adeptes d’AIO privilégieront un montage en haut, avec un 240/280 mm. Une option réputée compacte, le NZXT M22, reste pertinente pour qui veut une touche liquide sans sacrifier de la place en façade. Sinon, un tour d’horizon complet s’impose via ce guide de refroidissement liquide, utile pour arbitrer entre épaisseur de radiateurs, pertes de charge et disposition des ventilateurs.

Cas concret : la carte graphique comme métronome

Sur une config orientée 1080p/1440p, une carte comme la RX 6600 ou ses descendantes garde un format contenu. Pour juger l’intérêt d’un GPU modeste dans ces châssis, ce retour d’expérience sert de repère : avis RX 6600. Avec un GPU plus long et épais, la marge pour un AIO et une cage HDD se resserre ; d’où l’importance de l’ordre de montage et d’un câblage discipliné.

  • PSU court (140–160 mm) : idéal pour préserver la longueur GPU.
  • GPU triple-slot : veiller au dégagement latéral et à l’apport d’air frais par le bas.
  • AIO top : privilégier des ventilateurs à forte pression statique.
  • Stockage : miser sur M.2 sur la carte mère pour limiter la complexité SATA.

La règle d’or ici : dimensionner d’abord le couple GPU/PSU, puis le reste. C’est la clé pour exploiter la compacité des D30/D40 sans renoncer à la performance.

Cette vue d’ensemble pave la route pour la question suivante : comment ces boîtiers se comportent-ils en pratique, en température et en bruit ? Place à la méthodologie et aux scénarios de ventilation.

[Tests airflow] D30/D40 en pratique : scénarios de ventilation, températures et nuisances

Les D30/D40 favorisent un schéma d’air prévisible et efficace : aspiration par le bas, extraction par le dessus et l’arrière. L’absence de ventilateurs fournis impose une sélection rigoureuse. L’approche recommandée consiste à privilégier des moulins 120 mm au plancher pour nourrir la carte graphique, couplés à des 140 mm au sommet pour évacuer la chaleur. Ce balancier maintient un gradient de pression maîtrisé, même avec un ventirad costaud.

Sur un plan expérimental, trois profils simples couvrent 90 % des usages : gaming 1080p/1440p, création légère (CPU/GPU à charge mixte), et rendu prolongé. L’idée est de favoriser le flux là où la charge s’installe. Nul besoin de transformer le boîtier en turbine si l’équilibre pression statique/débit d’air est respecté.

Trois profils recommandés, une logique commune

Profil gaming : 3×120 mm en bas, 2×140 mm en haut, 1×120 mm arrière. L’appoint d’air frais sous le GPU stabilise les fréquences et réduit la montée en régime de ses propres ventilateurs. Profil création légère : on garde 2×120 mm au sol et on passe sur un AIO 240 mm en top pour lisser les pics CPU. Profil rendu : 2×140 mm top, 1×120 mm arrière et ventilateurs à courbe plus agressive au-dessus de 70 °C CPU/GPU.

Les préférences de marques jouent ici : des ventilateurs sobres chez Be Quiet!, des modèles RGB chez Corsair ou Thermaltake, de grandes turbines 140 mm chez Phanteks, des références airflow chez Cooler Master, et des alternatives prix/performances chez Aerocool. Un kit économe et lumineux est détaillé dans ce test : Corsair LL120 RGB.

Un mot sur le watercooling : le radiateur en haut évite les conflits avec la carte graphique tout en profitant des grilles étendues. Les AIO compacts type NZXT M22 se montent proprement. Ceux qui veulent cartographier les performances en profondeur trouveront des repères solides dans ce guide de refroidissement liquide.

  • Équilibre pression : éviter l’aspiration excessive sans extraction proportionnelle.
  • Filtres : nettoyer régulièrement ceux du bas pour maintenir le débit.
  • Courbes PWM : caler des paliers doux jusqu’à 50–60 °C, puis linéariser.
  • Vibrations : pads caoutchouc et vis caoutchoutées sur ventilateurs lourds.

La matérialité du châssis (aluminium/acier) amortit correctement les bruits structurels. Sur des ventilateurs bien équilibrés, la signature sonore demeure feutrée jusqu’à 800–1000 tr/min, selon modèles. Le mot d’ordre : calibrer, tester, ajuster.

Ces orientations s’appliquent aux deux formats, avec l’avantage pour le D40 de tolérer une alimentation plus longue sans compromettre la prise d’air du GPU. Reste à savoir comment cette proposition se compare aux géants du segment.

Entre compatibilité, airflow et finitions, la confrontation au marché 2025 éclaire la portée réelle de ce lancement. Direction le panorama concurrentiel.

[Marché 2025] Où se placent les D30/D40 face à NZXT, Corsair, Lian Li, Fractal Design et consorts ?

Le milieu de gamme a vu se renforcer des signatures nettes : NZXT impose ses lignes iconiques et un montage épuré, Corsair pousse l’écosystème iCUE et les accessoires RGB, Lian Li brille par l’usinage et la modularité, Fractal Design sécurise l’acoustique et les flux optimisés. Thermaltake, Phanteks et Cooler Master déclinent des formats audacieux, quand Aerocool bataille sur le prix. Dans ce tableau, Jonsbo trace sa voie : sobriété, matériaux soignés, formats justes et tarifs mesurés.

La marque confirme une stratégie de « micro-innovations » utiles. Les écrans intégrés des D31/D41 parlaient aux setups créatifs ; le D32 adaptait le châssis aux cartes mères à connectiques arrière ; l’U6 proposait un châssis « tiroir » au format ATX pour simplifier l’accès. La livraison du duo D30/D40 prolonge cette dynamique en rationalisant l’offre sans multiplier les références. Les choix sont clairs, et la cohérence prime.

Comparaison concrète : usages et arbitrages

Une configuration sobre orientée gaming 1080p/1440p trouve sa place dans le D30, en rivalité avec des châssis Micro-ATX de Cooler Master et Fractal Design. Le D40, lui, joue face aux solutions ATX de Lian Li et Phanteks, avec un avantage prix/finitions appréciable. Les amateurs d’originalité totale resteront séduits par l’U6 tiroir, au style premium et au montage initial enfantin, même si l’accessibilité ponctuelle y est particulière.

Pour qui cherche des alternatives hors du giron Jonsbo, un boîtier focalisé sur la ventilation et le budget peut se piocher du côté d’ABKONCORE ASTRA AM6. À l’inverse, une config plus silencieuse et cadrée RGB se tournera vers les écosystèmes aboutis de Be Quiet! et Corsair. Les cartes graphiques à encombrement moyen, du type RX 6600 et successeurs, restent le meilleur allié des châssis compacts : l’analyse dédiée ici, RX 6600 avis, aide à peser longueur, épaisseur et besoin réel en airflow.

  • Atouts D30/D40 : finitions et matériaux, compatibilité GPU/ventirad, simplicité du flux d’air.
  • Limites : I/O minimalistes, un seul emplacement AIO pertinent (top), ventilateurs non fournis.
  • Face aux rivaux : excellente proposition valeur/prix, moins « gadget », plus « essentiel ».
  • Public cible : joueurs, créateurs légers, postes polyvalents voulant un boîtier propre et durable.

Le débat concurrentiel n’empêche pas un constat : dans un marché saturé d’options, la clarté du positionnement Jonsbo fait mouche. La prochaine étape consiste à projeter des scénarios d’usage concrets pour choisir sans regret.

Tout est en place pour passer de la théorie à l’application, en imaginant des configurations cohérentes et évolutives selon profils.

[Guides d’achat] Scénarios d’usage, builds recommandés et astuces de montage pour D30/D40

Deux profils fictifs, deux approches qui recouvrent beaucoup de cas réels. Camille veut un poste polyvalent compact pour le travail, le montage léger et le jeu occasionnel ; Eliott vise une tour plus évolutive pour streamer, ajouter des cartes d’extension et faire du multitâche costaud. Les D30/D40 répondent différemment, mais avec un tronc commun qui simplifie le choix de composants.

Build « Camille » (D30, Micro-ATX compact et silencieux)

Le D30 accueille une carte Micro-ATX de milieu de gamme, un CPU 6–8 cœurs, un ventirad performant type Peerless Assassin 120 SE, et une carte graphique de gabarit raisonnable (RX 6600/RTX 4060 et assimilées). Le stockage bascule sur M.2 NVMe pour éviter les cages contraignantes et libérer l’airflow. Une alimentation de 140–160 mm, 650–750 W certifiée Gold, optimise l’espace GPU. Pour l’esthétique, un trio de ventilateurs RGB peut s’envisager : voir les LL120 RGB si l’éclairage compte.

Le refroidissement liquide reste optionnel ; un AIO 240 mm en haut peut lisser la montée en température lors d’encodages, mais un ventirad haut de gamme fait très bien l’affaire. Pour les amateurs de compacité extrême, un tour d’horizon Mini-ITX peut inspirer des choix futurs : guide Mini-ITX 2025.

  • Priorités : silence, câblage propre, PSU court, GPU à TDP raisonnable.
  • Ventilation : 2×120 bas + 2×140 top + 1×120 arrière, courbes PWM douces.
  • Évolutions : ajouter SSD 2,5″ si besoin, passer à AIO 240 si charge CPU soutenue.

Build « Eliott » (D40, ATX évolutif et polyvalent)

Le D40 ouvre la porte aux cartes mères ATX mieux dotées en VRM et en slots. Une alimentation plus longue (jusqu’à 280 mm) peut s’y loger, pratique pour des gammes modulaires haut de panier. L’intégration d’un AIO 280 mm en top se marie bien à un CPU 8–12 cœurs, tandis que trois 120 mm au sol alimentent un GPU triple-slot performant. Le D40 conserve la même sobriété visuelle que le D30, mais sa hauteur supplémentaire facilite les opérations et l’upgrade.

Dans les deux scénarios, le choix de l’alimentation reste stratégique. En cas de doute, ce guide d’alimentations 2025 apporte une méthode claire. Et pour qui préfère la simplicité d’un AIO compact à installer, le NZXT M22 demeure une valeur sûre. Le montage étape par étape s’inspire des habitudes de marques comme Fractal Design et Be Quiet! : passage de câbles arrière, priorité au flux, visserie minimaliste.

  • Priorités : marge d’extension (7 slots), AIO 280 mm, carte mère ATX complète.
  • Ventilation : 3×120 bas, 2×140 top, 1×120 arrière, filtres nettoyés régulièrement.
  • Périphériques : choisir des ventilateurs adaptés pression/débit selon emplacement.

Un dernier mot : si l’envie d’un châssis « différent » pointe, l’U6 — au montage par extraction du châssis via ses poignées — reste disponible dans plusieurs coloris, avec un tarif avoisinant les 160 €. L’expérience est unique, mais les D30/D40 gardent l’avantage de la simplicité quotidienne. Pour conclure ces recommandations, deux ressources utiles : un rappel sur l’écosystème watercooling via le guide liquide, et une alternative boîtier à petit prix, l’Astra AM6.

Ce panorama ramasse l’essentiel : choisir D30 pour la compacité chic et maîtrisée, D40 pour la marge d’évolution sans prise de tête. La ligne directrice reste la même : un boîtier discret, cohérent, qui met en valeur la configuration sans jamais la brider.

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