Le Speedlink OMNIVI s’adresse aux joueurs qui veulent une souris affirmée, solide et précise, sans se perdre dans une forêt de menus. Avec sa base en aluminium, ses 10 boutons programmables et un capteur à 12 000 dpi, il garde une identité marquée dans un paysage où les souris 20K+ se banalisent. L’anneau lumineux à 7 couleurs lui donne une signature visuelle immédiatement reconnaissable, tandis que les quatre commandes sous le pouce aident à gagner de précieux gestes sur les MOBA et les FPS. En 2025, face aux écosystèmes logiciels de Logitech, Razer, SteelSeries, Corsair, HyperX ou Asus ROG, l’OMNIVI joue la carte de l’efficacité. Dans l’équipe fictive NorthHex, un analyste e-sport a mesuré que la bascule sur 6 paliers DPI en cours de match réduit la latence décisionnelle par l’habitude, pas par la technologie brute. Cette approche pragmatique résume bien l’OMNIVI : une souris qui mise sur la prise en main, la lisibilité des commandes et un logiciel simple, plutôt que sur la profusion d’options. Voilà un outil qui revendique son caractère et le met au service du jeu.
Speedlink OMNIVI : capteur 12 000 dpi, base aluminium et 10 boutons
Le châssis du Speedlink OMNIVI repose sur une plaque d’aluminium qui apporte rigidité et glisse constante, y compris sur des tapis texturés utilisés en LAN. Le capteur jusqu’à 12 000 dpi couvre le spectre courant de la visée compétitive, tandis que les quatre boutons latéraux autorisent des raccourcis contextuels utiles en éditeurs, logiciels audio et jeux. L’anneau lumineux périphérique et la molette rétroéclairée structurent le retour visuel sans distraire l’œil. Pour un aperçu de la philosophie de la marque sur ses périphériques RGB, un détour par ce test d’un clavier Speedlink ORIOS RGB illustre le traitement de l’éclairage dans l’écosystème.
Caractéristique | OMNIVI | Repère marché 2025 |
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Capteur | jusqu’à 12 000 dpi, 6 paliers ajustables par 100 dpi | Plage 12K à 30K chez Razer, Logitech, SteelSeries |
Structure | Base en aluminium, coque ergonomique droitier | Plastique renforcé ou plaques métal selon Corsair, Cooler Master |
Boutons | 10 programmables dont 4 au pouce | 8 à 13 selon MSI, Asus ROG, Mad Catz |
Éclairage | 7 couleurs, zones anneau/molette/logo | RGB 16,8 M via iCUE, Synapse, GG Prism chez Corsair, Razer, SteelSeries |
Câblage | Tressé, patins larges | Courant milieu/haut de gamme, alternative sans-fil chez Logitech et HyperX |
Logiciel OMNIVI : réglages, macros et limites en 2025
L’OMNIVI fonctionne sans pilote, mais le logiciel dédié débloque les réglages essentiels. L’interface, distincte des autres produits Speedlink, propose en premier la programmation des boutons avec assignations et macros. Les options de performance se concentrent sur les 6 paliers DPI ajustables par pas de 100 dpi, le “sniper” se calant par défaut sur le premier palier, et la fréquence d’interrogation. Ce recentrage plaît aux joueurs qui préfèrent la cohérence d’un mapping stable plutôt qu’une granularité extrême. Pour saisir l’approche RGB de la marque sur un autre périphérique, ce banc d’essai du ORIOS offre un parallèle utile.
Le macro recorder qualifié d’“avancé” reste minimaliste : enregistrement des pressions avec délais, sans scripts complexes. Il privilégie les clics principaux et des séquences simples, loin des éditeurs évolués que l’on voit dans Synapse de Razer ou iCUE de Corsair. Lors d’une séance d’entraînement chez NorthHex, un coach a assigné des enchaînements modestes (ping vocal, marqueur de carte, changement d’outil) pour limiter les erreurs en clutch. Résultat : un gain de fluidité, sans effet “boîte noire”. Pour un autre angle sur l’écosystème Speedlink, voyez aussi cette analyse d’un clavier ORIOS qui met en perspective la philosophie des profils.
La molette peut changer de couleur selon le palier DPI, mais l’association sur 6 niveaux omet le rouge. Le logo reste en respiration cyclique non désactivable ; un choix esthétique qui maintient une présence lumineuse constante. Ceux qui aiment la sobriété pourront réduire l’anneau à une teinte fixe et se fier à la molette pour le feedback de sensibilité. Pour prolonger la réflexion sur la cohérence RGB des périphériques Speedlink, cet autre retour terrain du clavier ORIOS rappelle l’importance de profils légers.
Speedlink OMNIVI : éclairage 7 couleurs et zones LED exploitées
L’OMNIVI ne vise pas la débauche RGB : 7 couleurs couvrent l’anneau bas, la molette et le logo. Les effets restent sobres : fixe, respiration, running, clignotant et flowing. L’ambition est claire : offrir un balisage fonctionnel visible en périphérie de vision, sans noyer l’utilisateur. Comparée aux vagues synchronisées des suites Razer Chroma, SteelSeries PrismSync, ou Corsair iCUE, la personnalisation paraît plus limitée, mais la lisibilité en partie sombre est excellente. Des créatifs de studio utilisant Trust et Cooler Master pour la 3D ont adopté une teinte unique sur tous les postes afin d’indiquer l’outil actif, une méthode transposable à l’OMNIVI. Pour nourrir le parallèle entre souris et claviers de la marque, ce test ORIOS RGB éclaire l’alignement des choix visuels.
Mode | Zones concernées | Usage recommandé |
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Fixe | Anneau, molette | Repère constant pour sensibilité et profil |
Respiration | Logo (imposé), anneau en option | Ambiance discrète, économie visuelle |
Running | Anneau périphérique | Effet dynamique type “guirlande” pour setup vitrine |
Clignotant | Anneau, molette | Transition de teintes plus marquée que le fixe |
Flowing | Anneau | Vague multicolore plus uniforme pour stream |
Ce parti pris 7 couleurs rappelle que la visibilité prime sur l’esbroufe. Les joueurs venant de MSI, Asus ROG ou Mad Catz y verront un phare discret plutôt qu’un show RGB. Pour mieux comprendre la cohérence globale des périphériques Speedlink, une lecture utile reste ce compte rendu sur le clavier ORIOS, dont l’éclairage et les profils dialoguent bien avec une souris réglée avec parcimonie.
Dans un setup mixte incluant un casque HyperX et un clavier Logitech, l’OMNIVI s’intègre sans friction grâce à ses réglages autonomes stockés dans la mémoire interne. Pour clore la boucle et rester dans l’écosystème Speedlink côté dactylo, ce test approfondi de l’ORIOS RGB montre comment harmoniser la palette et rationaliser les profils entre périphériques, sans dépendre d’une suite lourde.