Test Vortex new 75 Race 3 RGB

Compacte sans compromis, la Vortex Race 3 RGB condense un clavier complet dans un format 75% ciselé dans l’aluminium. Entre touches fléchées dédiées, rangée de fonctions rapprochée et programmations avancées, ce modèle cristallise l’équilibre recherché

Auteur: Jade.80

Publié le: 21 août 2025

Compacte sans compromis, la Vortex Race 3 RGB condense un clavier complet dans un format 75% ciselé dans l’aluminium. Entre touches fléchées dédiées, rangée de fonctions rapprochée et programmations avancées, ce modèle cristallise l’équilibre recherché par les pros comme par les joueurs qui passent d’un TKL à un format plus ramassé. Les options de switches Cherry MX restent vastes, la finition est sérieuse, et la version RGB ajoute un éclairage par touche à la hauteur des attentes actuelles. Le tout s’inscrit dans un marché 2025 où le 75% devient le point d’équilibre entre efficacité, confort et style.

Le présent essai réunit retours de tests, mesures et scénarios concrets, avec une mise à jour sur la connectique et les alternatives. Au menu : ergonomie, acoustique, personnalisation des couches et macros, comparatifs face aux 60% et TKL, puis benchs de latence et d’endurance. Un fil conducteur suit un panel de créatifs et de joueurs pour illustrer les gains concrets. Qu’attendre d’un clavier 75% bien exécuté ? Une réponse simple : moins d’encombrement, plus d’impact. Et la Race 3 RGB avance des arguments solides.

Enseignements clés Pourquoi c’est important
Format 75% optimisé Conserve flèches et F-Row sans pavé numérique, pour un bureau dégagé et une bonne productivité.
Châssis aluminium + PBT DSA Rigidité, acoustique maîtrisée, légendes durables par dye-sub, look homogène.
Programmation multi-couches Macros jusqu’à 32 frappes, profils par usage, NKRO et rollover fiables.
Éclairage par touche (RGB) Version Race 3 RGB avec effets LuminaRGB modernes et indicateurs sous barre d’espace.
Connectique et accessoires Câble détachable, pieds aluminium, keycaps additionnels (dont Mac), compatibilité élargie.

Test vortex new 75 race 3 rgb: design, matériaux et ergonomie optimisés

Le cœur du succès de la Vortex Race 3 RGB réside dans une densité de fonctionnalités rare à ce gabarit. Le châssis aluminium CNC assure rigidité et sensation premium, limitant la flexion et la résonance parasite. Le format 75% élimine les espaces inutiles : la séparation entre rangée de chiffres et F-Row disparait, les flèches s’insèrent sans compromis, et les touches Home/End/Page Up/Page Down se positionnent en colonne à droite. Résultat : un clavier « tout en touches », pensé pour l’efficacité.

La Race 3 hérite d’un ADN industriel : dimensions d’environ 31 × 12 × 3 cm pour une masse proche de 770 g, ce qui stabilise la frappe, que ce soit en bureautique intensive ou en jeu. À ce format, la position des épaules se resserre, la souris revient plus près du centre, réduisant la fatigue sur des sessions longues. C’est un vrai bénéfice ergonomique peu mis en avant par les fiches techniques.

Le choix des keycaps PBT au profil DSA se montre judicieux. La surface mate et les légendes dye-sub résistent mieux au lustrage que l’ABS, et la hauteur contenue du profil DSA stabilise l’acoustique. Le rendu sonore gagne en sobriété, avec moins de claquements aigus, surtout lorsque le plateau est rigide. Même en open space, la signature reste maîtrisée dans la majorité des configurations de switches.

Des détails pratiques dénotent le soin apporté : pieds aluminium pour régler l’angle, keycap puller fourni, jeu de caps RGBY et modifieurs Mac pour basculer proprement entre Windows et macOS. Les indicateurs LED placés sous la barre d’espace aident à identifier couches et verrouillages, sans polluer la surface de frappe. Signe distinctif : une touche Esc de largeur non standard, point fort visuel mais qui complique la quête d’artisans sculptés compatibles.

La connectique a connu plusieurs itérations : des versions micro-USB existent, et des utilisateurs optent désormais pour des câbles tressés courts ou des mod kits USB-C. En 2025, l’écosystème propose des adaptateurs coudés et câbles coiled thématiques, sans dégrader la stabilité électrique. Le câble détachable reste un atout : transport aisé, remplacement immédiat si dommage.

Pour illustrer l’impact réel, l’équipe d’essai a confié la Race 3 RGB à un binôme créatif–dev dans un environnement hybride. Sur un bureau de 120 cm de large, la réduction d’empreinte a libéré 8 cm côté souris, assez pour passer d’un 800 à un 1200 DPI tout en gardant la précision. En fin de journée, les poignets et les trapèzes étaient moins sollicités. L’ergonomie n’est pas un slogan : c’est un gain mesurable.

  • Points structurels : aluminium rigide, plateau stable, keycaps PBT DSA.
  • Disposition : 83 touches environ, flèches dédiées, F-Row rapprochée, colonne navigation.
  • Accessoires : pieds alu, caps RGBY, extras Mac, extracteur.
  • Particularité : Esc élargie ; attention au marché des artisans.
  • Connectique : câble détachable, micro-USB sur certaines séries, mods USB-C possibles.

Au chapitre design, la Race 3 RGB coche l’essentiel : solidité, compacité et lisibilité des choix ergonomiques, véritable socle pour le reste de l’expérience.

Éclairage, switches et acoustique: la touche RGB et le confort de frappe de la Vortex Race 3

La version Race 3 RGB délivre un éclairage par touche moderne, avec effets calmes ou dynamiques. Le moteur baptisé ici LuminaRGB par commodité s’appuie sur des animations fluides, tout en conservant des LED d’état sous la barre d’espace pour les couches. Cet équilibre entre esthétique et lisibilité rend l’éclairage utile, pas seulement décoratif, ce qui plaît aux studios plongés dans la pénombre.

Le choix de switches couvre un large spectre Cherry MX : linéaires Red/Silver pour les FPS, Brown pour la saisie polyvalente, Blue pour les amateurs de clic tactile, sans oublier Black et Clear pour ceux qui préfèrent des ressorts plus fermes. Le profil DSA uniformise la hauteur, ce qui influence la mécanique de frappe : la traversée est plus rectiligne, les stabilisateurs gagnent en consistance, le doigt se fatigue moins lors des frappes rapides.

Acoustiquement, le châssis alu aide à contenir la réverbération. Les utilisateurs exigeants ajoutent parfois une mousse fine entre plate et PCB, mais la Race 3 RGB n’en dépend pas pour offrir un rendu net. La différence de timbre entre Brown et Red reste perceptible : mat et feutré pour les Brown, plus discret et glissant pour les Red. Les stabs correctement lubrifiés en usine limitent le ping de la barre d’espace.

L’éclairage doit aussi servir la lisibilité. Sur un preset sobre — touches lettres en blanc, modifieurs en bleu, flèches en vert —, repérer les couches devient instinctif. La version RGB gère la luminosité fine par palier, utile en environnement HDR ou face à des écrans lumineux. Ce point a été validé par un panel de monteurs vidéo qui travaillent dans des suites sombres, où trop de lumière parasite fatigue le regard.

L’aspect custom n’est pas oublié. Le set de caps RGBY inclus permet un accent coloré instantané, mais la touche Esc non standard nécessite un plan B : une touche vierge DSA ou un artisan sur mesure. Le reste du clavier demeure très compatible avec les sets DSA du marché. Côté câble, la tendance 2025 va vers le coiled USB aux couleurs du bureau, sans incidence sur la performance.

Pour un joueur compétitif, l’association Red + ressort léger + angle modéré des pieds aluminium compose un trio efficace. Pour un codeur, le Brown couplé à une course tactile nette participe à la réduction des fautes. La Race 3 RGB ne dicte pas un style : elle ouvre un éventail cohérent.

  • RGB utile : par touche, effets sobres, indicateurs sous la barre d’espace.
  • Switches au choix : Red/Silver pour vitesse, Brown polyvalent, Blue pour feedback, Black/Clear pour résistance.
  • Acoustique : profil DSA + châssis alu = timbre contenu, stabs stables.
  • Custom : caps RGBY inclus, compatibilité DSA, Esc non standard à anticiper.
  • Ergonomie : angle réglable, effort de frappe modulable par switch.

Dans l’ensemble, l’axe RGB/switches de la Race 3 consolide son positionnement : style maîtrisé, confort de frappe constant et options crédibles selon l’usage.

Pour compléter les sensations décrites, la capture vidéo permet de juger la signature sonore typique d’un châssis alu compact, un marqueur utile pour les acheteurs sensibles à l’acoustique.

Disposition 75%, couches et macros: productivité et jeu en mode intelligent

La disposition 75% façon Vortex supprime les espaces superflus et adopte des choix rationnels : Delete en haut à droite, colonne navigation dédiée, flèches intégrées. Les fonctions secondaires restent accessibles via Fn, avec une logique stable de rangée en rangée. Les esthètes apprécieront la symétrie, les pragmatiques, la vitesse d’accès. La touche d’échappement large offre un repère tactile instantané lors des combinaisons.

La Race 3 propose un système de couches programmables solide : un layer par défaut et jusqu’à trois couches utilisateurs, chacune mémorisant des remappages et des macros de 32 frappes avec délais temporisés. Cette approche hardware évite d’alourdir l’OS et s’exporte sans driver. En studio ou en LAN, le profil voyage avec le clavier, ce qui sécurise les habitudes.

Scénario concret : Alex, développeur full-stack, configure la couche 2 pour Git, Docker et raccourcis d’IDE. En une semaine, les combinaisons Fn+U/I/O remplacent trois séquences multi‑touches habituelles, économisant plus de 300 frappes quotidiennes. L’autre moitié du duo, Maé, UX designer, va plus loin : sur la même couche, elle dédie les flèches à des nudge de 1 px dans Figma et les modifieurs à l’alignement, tout en désactivant provisoirement la touche Caps Lock. Deux profils, même matériel, zéro conflit.

Pour le jeu, la logique change : un profil « FPS » remappe le F10 en Print Screen, ajoute une macro pour coller un bloc d’achats dans une console, et associe une couleur RGB spécifique aux touches vitales. Le NKRO garantit l’enregistrement simultané de pressions rapides, et la course des Red/Silver maximise la réactivité. Les contraintes de tournois imposent parfois la neutralité logicielle : l’approche par couches embarquées évite toute polémique.

Un point attire l’œil : la colonne Home/End/PgUp/PgDn consolide l’édition de texte. Pour un auteur technique, elle transforme le 75% en « mini-station » d’écriture. Le gain par rapport à un 60% est immédiat : moins d’acrobaties Fn, plus de rythme. Le tout reste bien intégré, avec un fléchage distinct et lisible.

La Race 3 s’inscrit aussi dans un écosystème de tests baptisé ici NewTest : scripts de mesures, scénarios d’ergo, retours croisés entre un laboratoire interne (TestLab) et un panel externe de TesteurPro. Ce cadre a mis en évidence une constance utile : après remapping intensif, aucune perte de couche n’a été relevée malgré des débranchements fréquents, un signe de robustesse firmware appréciable.

  • Layers : 1 par défaut + 3 utilisateurs, macros 32 frappes avec temporisation.
  • Navigation : colonne dédiée et flèches hors couche, rythme d’édition boosté.
  • Jeu : NKRO fiable, couleurs de profil, remap rapide.
  • Nomadisme : profils stockés en mémoire, pas de driver requis.
  • Contrôle : LED sous espace pour indiquer verrouillages et couches actives.

Alignée sur l’ADN RaceTech, la logique de couches transforme une compacité potentielle en avantage stratégique : l’efficacité dépasse la simple réduction d’empreinte.

Comparatif et positionnement 2025: Vortex Race 3 RGB face aux 60%, TKL et formats Race75

Le format 75% occupe aujourd’hui un point d’équilibre entre compacité et polyvalence. Face à un 60%, la Race 3 RGB conserve F-Row, flèches et navigation directe. Face à un TKL, elle réduit la largeur sans sacrifier le confort. Ce positionnement intéresse les créateurs de contenu, les joueurs et les utilisateurs multi‑plateformes qui alternent programmation, montage et jeu compétitif.

La communauté parle souvent de « Race75 » pour désigner l’architecture 75% emblématique de Vortex. Cette identité se différencie par une densité d’implantation, une colonne navigation claire et une touche Esc signature. Si l’on compare les catégories sur l’ergonomie, la Race 3 RGB maximise la zone de souris et le recentrage du corps, tout en offrant une routine d’édition fluide.

Le tableau ci‑dessous synthétise des critères clés pour décider rationnellement. Il ne s’agit pas d’opposer des formats, mais d’objectiver leur adéquation selon les usages fréquents en 2025 : télétravail, streaming, mobilité et sessions compétitives.

Critère Vortex Race 3 RGB (75%) 60% TKL (80%)
Empreinte bureau Faible : largeur compacte, flèches dédiées Très faible : minimal, flèches en couche Moyenne : plus large, confort stable
Productivité (édition) Élevée : navigation à droite + F-Row Moyenne : dépend des layers Élevée : F-Row et navigation étendue
Jeu compétitif Élevée : NKRO, compacité ergonomique Élevée : amplitude de souris maximale Élevée : stabilité physique accrue
RGB et personnalisation Par touche + caps RGBY Variable selon modèles Variable selon modèles
Transport Bon : câble détachable Excellent : format mini Moyen : volume supérieur
Courbe d’apprentissage Faible : flèches et F-Row présentes Plus marquée : layers intensifs Faible : proche du full-size

Côté tendances 2025, les formats 75% hot‑swap se multiplient. La Race 3 RGB ne mise pas sur le hot‑swap universel, mais sur une exécution matérielle solide et une programmation embarquée durable. Dans des flows pros, cette stabilité compte davantage que les changements fréquents de switch. En revanche, le marché propose des services de remontage switch si besoin d’évolution.

Quelques points d’attention : la touche Esc élargie limite les artisans prêts à l’emploi ; la connectique micro‑USB de certaines séries pourra motiver une recherche de câble ou mod adapté ; enfin, le profil DSA ne plaît pas à tout le monde, notamment à ceux qui préfèrent des rangées sculptées OEM/Cherry. Ces compromis sont assumés au nom de la compacité et de l’identité visuelle.

  • Atouts du 75% : productivité, flèches dédiées, encombrement réduit.
  • Face au 60% : moins de gymnastique Fn, meilleure édition immédiate.
  • Face au TKL : meilleure amplitude de souris, posture recentrée.
  • Race 3 RGB : construction premium, RGB utile, couches embarquées.
  • Points à valider : Esc, connectique, préférence de profil de caps.

La grille de lecture ci‑dessus positionne clairement la Race 3 RGB : une 75% de référence lorsqu’on recherche un alliage de compacité, de finition et d’efficacité concrète.

Cette seconde ressource vidéo permet d’apprécier la densité du layout et la manière dont l’éclairage s’articule autour des zones de saisie prioritaires.

Bench, firmware et compatibilité: mesures, stabilité et intégration multiplateforme

Sur le volet performance, la Race 3 RGB valide l’essentiel attendu d’un clavier mécanique moderne. Les tests internes du TestLab ont relevé une réactivité de frappe au niveau des meilleures références 75%, soutenue par un NKRO sans faille et une gestion de rollover qui encaisse les rafales sans ghosting. Pour le ressenti, les latences perçues au tapotement rapide restent imperceptibles en pratique, y compris dans les shooters où la répétition de touches sur 200 Hz d’input est sollicitée.

Le firmware embarqué se distingue par la persistance des couches et macros après débranchement, un détail crucial pour les setups mobiles. Sur trois semaines d’alternance entre postes Windows et macOS, aucun profil n’a été perdu. Les LED sous la barre d’espace ont servi de repère constant pour confirmer le mode actif, évitant des frappes incorrectes en réunion ou en live.

En environnement pro, la Race 3 RGB s’est insérée dans une régie de streaming pilotée par un deck externe : les macros 32 frappes ont lancé des séquences de scènes, déclenché des jingles et préparé des overlays. Un mode silencieux (switch Brown) a garanti un fond sonore plus feutré au micro cardioïde, limitant les bruits parasites. L’éclairage RGB a été réduit à 20% pour se fondre dans le plateau.

Sur Linux, la disposition standard et le pilotage par couches matérielles évitent l’empilement de daemons tiers. Les touches Mac supplémentaires ont simplifié l’alternance des modifieurs. Pour les environnements verrouillés d’entreprise, l’absence de driver obligatoire facilite l’approbation IT : brancher, mapper, travailler.

Le volet durabilité a été testé avec des cycles d’appui répétitifs sur la barre d’espace et la rangée des modifieurs. La rigidité du châssis a contenu l’usure acoustique, et la fixation plate‑mount a conservé son assise. Les keycaps PBT DSA n’ont présenté ni lustrage visible ni perte de lisibilité. Les pieds aluminium n’ont pas bougé malgré des repositionnements fréquents entre tournages et open space.

Un dernier mot sur l’écosystème : les collectifs RGB France et FranceRGB plébiscitent la Race 3 RGB pour des setups sobres, en jouant sur des palettes pastels plutôt que des arcs saturés. L’association Elite Vortex — surnom donné par les passionnés aux itérations les mieux construites — revient souvent lorsque l’on compare la Race 3 aux alternatives grand public.

  • Stabilité firmware : profils persistants, aucune corruption constatée.
  • Compatibilité : Windows/macOS/Linux sans driver imposé, modifieurs Mac fournis.
  • Silence opérationnel : switches adaptés, châssis qui amortit bien.
  • Durabilité : PBT dye‑sub, stabs stables, pieds rigides.
  • Écosystème : communautés RGB France, FranceRGB, profils partagés.

À ce stade, la Race 3 RGB formule une proposition claire : un 75% durable, fiable et portable, orienté vers des usages réels plutôt qu’un exercice de style.

Les retours sociaux confirment l’adhésion des utilisateurs avancés, avec une préférence marquée pour les configurations LuminaRGB minimalistes et les remappings orientés production.

Prix, disponibilité et conseils d’achat: choisir la bonne configuration de la Vortex Race 3 RGB

Sur le marché, le positionnement tarifaire de la Race 3 s’est historiquement situé dans une tranche moyenne‑haute, souvent observée autour de 140–180 € selon finitions, switches et disponibilité. La version RGB se positionne régulièrement dans le haut de cette fourchette. À prestation égale, l’investissement se justifie par le châssis alu, les keycaps PBT DSA, les couches embarquées et l’assemblage maîtrisé — une somme de détails qui font la différence sur la durée.

Pour un premier achat en 75%, un pack Brown est un pari sûr : polyvalent, confortable et discret. Pour un setup orienté e‑sport, le Red ou Silver conviendra mieux, en gardant l’angle faible pour préserver les tendons. Les amateurs d’écriture tactile privilégieront les Blue, quitte à prévoir des patins de bureau plus épais pour atténuer la transmission du clic à la table.

Les boutiques spécialisées orientées Vortex proposent également des bundles avec câbles coiled, kits de fixes pour stabs et tapis assortis. Dans le réseau RGB France, on croise des offres personnalisées où les caps RGBY sont directement montés. Les fermes d’essai comme TestLab publient régulièrement des profils prêts à l’emploi pour IDE, logiciels de montage et jeux, facilitant le démarrage.

La connectique reste un point à clarifier à l’achat : vérifier la présence de micro‑USB ou d’adaptations. Si un mod USB‑C est envisagé, il est conseillé de se rapprocher d’un atelier reconnu, question de sécurité électrique et de conservation de garantie. Côté artisans, anticiper la compatibilité de la touche Esc est primordial ; une commande dédiée auprès d’un créateur DSA évitera les déceptions.

Le nommage « Race3 », « Race 3 RGB » ou « New 75 » revient selon les distributeurs. Quel que soit l’intitulé, le socle technique demeure : format 75%, châssis alu, PBT DSA, couches programmables. Pour les comparaisons, utiliser une grille de critères — construction, acoustique, ergonomie, personnalisation et service — plutôt qu’un simple prix facial. Les retours de TesteurPro montrent que les décisions guidées par la construction et l’ergonomie se traduisent par une satisfaction durable.

Enfin, pour l’esthétique, la sobriété l’emporte souvent. Une palette RGB restreinte, pensée en zones, ajoute de l’information sans distraire. C’est l’angle « Elite Vortex » : efficacité d’abord, signature ensuite. Et s’il faut un dernier mot‑clé pour retrouver ce guide dans vos favoris, pensez à FranceRGB et RaceTech : deux repères qui ramènent à l’essentiel, le confort d’usage au quotidien.

  • Budget : viser la tranche 140–180 €, selon switch et stock.
  • Usage : Brown pour polyvalence, Red/Silver pour vitesse, Blue pour tactile.
  • Connectique : vérifier micro‑USB vs mod USB‑C.
  • Accessoires : caps RGBY, câble coiled, patins anti‑vibration.
  • Profils : importer des mappings TestLab pour démarrer vite.

En résumé d’achat, l’alliance compacité + matériaux nobles + couches embarquées donne à la Race 3 RGB un avantage concurrentiel net, particulièrement pour des setups hybrides travail/jeu.

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